L’histoire du Domaine

Acquisition des premières parcelles

C’est pendant la grande guerre que mes arrières grands-parents Masson firent l’acquisition de notre maison familiale ainsi que des premières parcelles de vignes du domaine pour Henri, leur fils unique mobilisé à cette époque. Parmi celles-ci, une première côte surplombant le village réputé pour y élaborer parmi les meilleurs vins de chenin de Mosnes : les Perrières qui deviendra la Mignonne.

Déjà, ils avaient compris que les conditions pédologiques d’un sol sont déterminantes dans la qualité organoleptique d’un vin bien avant le choix du cépage, le travail et les conditions climatiques. Dès sa démobilisation et pendant les quarante ans qui s’ensuivirent, mon grand-père n’aura de cesse d’étoffer la propriété d’autres belles parcelles réputées (la coulée des Hottins, Les Monceux, Sauve la Vie, la Croix Bourge…).

Photo de la famillle masson lors de l'acquisition des premières parcelles

Une nouvelle génération au Domaine

Une nouvelle étape est franchie au début des années 60 quand Guy Durand, en épousant Denise (la fille cadette d’Henri), intégra au domaine un vaste bâtiment du début du XIX siècle qui deviendra notre chai.

Il se porta acquéreur de nouvelles parcelles de vignes dont une très belle première côte au sol perrucheux, la Garmonière.

Mes parents s’engagèrent alors dans la restructuration du vignoble en cépages nobles (chenin, sauvignon, côt, gamay et cabernet) doublée d’une politique d’achats avisés : de nombreuses parcelles dans les Mallards, à Monceux, en Bousiers et Haie-Bâchelier… quelques 50 actes d’achats !

Désormais la majorité des vignes situées à l’Est du village en premières côtes et au tout début du plateau étaient rentrées dans notre escarcelle.

L’histoire du Domaine

Acquisition des premières parcelles

C’est pendant la grande guerre que mes arrières grands-parents Masson firent l’acquisition de notre maison familiale ainsi que des premières parcelles de vignes du domaine pour Henri, leur fils unique mobilisé à cette époque. Parmi celles-ci, une première côte surplombant le village réputé pour y élaborer parmi les meilleurs vins de chenin de Mosnes : les Perrières qui deviendra la Mignonne.

Déjà, ils avaient compris que les conditions pédologiques d’un sol sont déterminantes dans la qualité organoleptique d’un vin bien avant le choix du cépage, le travail et les conditions climatiques. Dès sa démobilisation et pendant les quarante ans qui s’ensuivirent, mon grand-père n’aura de cesse d’étoffer la propriété d’autres belles parcelles réputées (la coulée des Hottins, Les Monceux, Sauve la Vie, la Croix Bourge…).

Photo de la famillle masson lors de l'acquisition des premières parcelles

Une nouvelle génération au Domaine

Une nouvelle étape est franchie au début des années 60 quand Guy Durand, en épousant Denise (la fille cadette d’Henri), intégra au domaine un vaste bâtiment du début du XIX siècle qui deviendra notre chai.

Il se porta acquéreur de nouvelles parcelles de vignes dont une très belle première côte au sol perrucheux, la Garmonière.

Mes parents s’engagèrent alors dans la restructuration du vignoble en cépages nobles (chenin, sauvignon, côt, gamay et cabernet) doublée d’une politique d’achats avisés : de nombreuses parcelles dans les Mallards, à Monceux, en Bousiers et Haie-Bâchelier… quelques 50 actes d’achats !

Désormais la majorité des vignes situées à l’Est du village en premières côtes et au tout début du plateau étaient rentrées dans notre escarcelle.

Vers le vignoble actuel

Peu après mon retour au domaine, au milieu des années 90, une opportunité me permit d’entrer en possession d’une seconde parcelle réputée pour le chenin située au Pin. Puis d’une troisième, la Huaudière, un mont en première côte, toutes les deux sur des sols d’aubuis, à l’Ouest du village.

Enfin récemment, dernière acquisition et non des moindres, la seule parcelle en première côte à l ‘est du village nous manquant : les Chétevilles, 2 hectares sur un sol perrucheux.

Désormais je porte toute mon attention sur un petit vignoble de 14 hectares dont 9 de pentes avec pour seul but : celui de produire de beaux raisins aérés, en quantités mesurées afin d’obtenir pour chaque millésime la maturité phénolique optimale. L’objectif est ainsi d’éviter tout réajustement chimique ou technique au chai.

Philippe Durand

photo de philippe durand dans sa cave troglodyte Vers le vignoble actuel

Domaine en chiffres

graphique répartition par sol chiffre du domaine

Notre domaine est caractérisé par la grande diversité de type de sols (perruches, bournais perrucheux poudingues et aubuis). Nous avons toujours fait en sorte d’opter pour une politique d’achats de parcelles en pentes ou sur des plateaux surélevés afin de profiter des bienfaits desséchant du vent ligérien sur le végétal.

Notre domaine se distingue aussi par la diversité des cépages.

Depuis le millésime 2019 la majorité de nos cuvées sont déclarées en Indication Géographique Protégée Val de Loire (IGP) et en Vin de France pour les autres.

graphique répartition par cépage chiffre du domaine
graphique répartition par A.O.P chiffre du domaine